Qu'y-a-t'il à y comprendre? Un jour passa sans que rien ne bougea. Le divan étant déplacé d'un centimètre, une mince couche d'étoiles s'étaient déposées sur la télévision... encore ouverte pour animer la vie. Non pas la mienne, mais celle de cette solitude que je chéris tant. Sur une douce musique, je m'installai au tréfond de mon être pour y savourer l'extase des moments présentés. Ces idées qui affluaient dans cet esprit, comme un train n'arrivant jamais à la gare à l'heure. Ce cadran qui ne cessait de sonner, raisonner.

Je ne balbutinais pas. Je tâchais de comprendre les mots qui s'entassaient, se trépassaient et s'embrouillaient. Une vérité, il en était tout autrement. Tant de temps, sans se soucier de la qualité des mots et des pensées. Une minute suffit pour que nous puissions y saisir l'instance de plusieurs années. Pourquoi alors n'ais-je pas saisie à ce jour?

Quelle journée! Peu de faits, beaucoup de souvenirs. Quelques idées transpercèrent mon esprit. Pourquoi ne pas se réaliser par une passion? Pourquoi ne pas y lire des tonnes et des tonnes d'information? Pourquoi réaliser que nous vivons et que nous quitterons? Pourquoi chercher à prendre essence dans ton existence?

Puis, une recherche, la passion de l'être. Qu'y a-t-il à découvrir? Quand je parle de lui, quand je parle de toi, ils y lisent la vérité. Comme est-ce possible qu'un phénomène aussi paranormal puisse être compris? Qu'y voient-ils? Ce n'est ni de la science, ni de la fiction. Deux êtres se sont jadis rencontrés. Ils se sont déchirés après s'être involontairement épris l'un de l'autre. Ce n'était ni de l'amour, ni de la passion, ce n'était rien.

Ce combat entre elle, entre lui, entre nous tous, nous le vivions, l'espérons. Une fois que nous l'avons, quelle valeur a-t-il?

Sanglante vérité.

Doublement, les yeux et l'esprit fermé, ils s'enlissent dans un futur désespéré.

Fermeture chaotique.

Désintéressement aboutissant à l'emprisonnement,

Une simple volonté n'est nécessaire pour qu'un chaos se crée.

La plénitude de l'esprit égaré cherche, en vain, l'arche de la souffrance assouvie,

Tâchant de s'éloigner des incompréhensivités de l'être inachevé, endormit.

Ouverture démesurée, substentielle à l'achèvement d'une réalité.

Simplicité passagère.

Déambulant vers un monde meilleur, non sans frontières, mais avec

Une sagesse particulière.